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Avril
Décès de Monsieur Guy WINTZER
Par Publication d'élève • Publié le 01/04/2020
Par Publication d'élève • Publié le 01/04/2020
Nous venons d'apprendre le décès de Guy WINTZER, président de la FNACA.
Une douloureuse nouvelle pour les anciens combattants et l'ensemble des villenoyens en cette période déjà très troublée.
Pendant de nombreuses années, il était aux côtés des enfants pour les photos lors des cérémonies du 11 novembre et 19 mars. Je me rappelle l'entendre parler aux enfants le 11 novembre, leur donner des petits drapeaux, des rubans bleu-blanc-rouge, mettre des feuillets sur leur poche de chemise. Il avait à cœur à leur montrer sa tenue de militaire, ses insignes, ses médailles et son drapeau.
Je me rappelle lors du 11 novembre 2018, d'un grand rire général, lorsqu'il citait le nom des villenoyens décédés, suivi d'un "mort pour la France" crié par les enfants, lorsqu'il a prononcé "on change de côté" au micro et que les enfants n'avaient pas compris qu'il ne s'agissait pas d'un nom de personne et qu'il avait dit "mort pour la France", l'assistance avait alors rit, Guy également à son tour. L'année d'après il avait bien pris soin de ne dire que les noms et surtout aucun autre mot superflu.
Nous adressons à sa famille et aux siens, toutes nos sincères condoléances.
Le directeur
Une douloureuse nouvelle pour les anciens combattants et l'ensemble des villenoyens en cette période déjà très troublée.
Pendant de nombreuses années, il était aux côtés des enfants pour les photos lors des cérémonies du 11 novembre et 19 mars. Je me rappelle l'entendre parler aux enfants le 11 novembre, leur donner des petits drapeaux, des rubans bleu-blanc-rouge, mettre des feuillets sur leur poche de chemise. Il avait à cœur à leur montrer sa tenue de militaire, ses insignes, ses médailles et son drapeau.
Je me rappelle lors du 11 novembre 2018, d'un grand rire général, lorsqu'il citait le nom des villenoyens décédés, suivi d'un "mort pour la France" crié par les enfants, lorsqu'il a prononcé "on change de côté" au micro et que les enfants n'avaient pas compris qu'il ne s'agissait pas d'un nom de personne et qu'il avait dit "mort pour la France", l'assistance avait alors rit, Guy également à son tour. L'année d'après il avait bien pris soin de ne dire que les noms et surtout aucun autre mot superflu.
Nous adressons à sa famille et aux siens, toutes nos sincères condoléances.
Le directeur